Ce site est la propriété exclusive de La Société Mycologique de Vaucluse.
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Webmaster G.VIOLA
Meyrueis, jeudi 13 octobre au dimanche 16
Hébergement hôtel familie
Les repas excellents comme il y a quatre ans
Une partie du groupe arrive le jeudi après-midi.
Premières déterminations le jeudi soir ds une très belle salle au 5ième étage de l’hôtel.
Eclairage toutefois insuffisant concernant la détermination d’exemplaires par exemple russules ou cortinaires.
Participants au regroupement :
Sylvie et Pascal Poujoly
Andrée Navaro
Chantal Bourgois (et non Bourgeois)
Suzanne Nguien Hoai
Héléne Le Du
Jean-louis Cannaud
Mireille et Michel Sage
Rémy Brémond
Elaine et Daniel Puravet
Laurent et Etienne Akar
Jean-Paul Moulin
Pierre Lanfredi
Odile Champion
Le jeudi après-midi le hasard veut que 3 véhicules de participants dans la descente de l’Espérou sur Camprieu, à 3 km du col. Petite halte. Petite récolte d’une trentaine de minutes, variée du point de vue mycologique et surtout de qualité. Première détermination donc le soir. Décision est prise de retourner en ces lieux le vendredi matin
Vendredi matin. Nous ne sommes pas les seuls mais il y a de la place et surtout des champignons pour tout le monde. Il y a même de l’edulis et de l’erythropus que nous mettons à l’abri dans les coffres de nos voitures. Car tout en étant passionnés de mycologie, nous sommes également des casseroleurs. Comme disait ma grand-mère : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! »
Passons. A 12 h, nous pensons pique-niquer à l’Espérou, lieu où doit nous rejoindre la deuxième partie des participants au regroupement. Vent glacial, passages nuageux. Nous redescendons nous mettre à l’abri sur le lieu de cueillette du matin. Un tire-bouchon est brandi comme une arme. On se le passe de main en main, comme les bricoles appétissantes que chacun a amenées.
En plus d’être des casseroleurs, serions-nous aussi des alcooliques ? Mais le bon vin réchauffe les corps et dynamise les esprits engourdis par le froid, c’est bien connu
Après-midi toujours riches en découvertes variées dans la même zone.
Vendredi soir Deuxième séance de détermination. Mais il y a quantité de genres et d’espèces différents. C’est trop pour les tables qui nous ont été allouées. Les amanites, par exemple, s’entassent, même déterminées. Que dire des cortinaires, bolets et russules.
Bref, lorsqu’il faudra mettre ces mêmes champignons –et leurs trop nombreux doublons- dans des grands sacs jetables à la fin de l’activité, on découvrira que cela fait un poids certain !
Samedi matin. Beau temps généralisé. Une journée qui démarrait sous les meilleurs hospices avec la perspective de trouver entre autres des cèpes, girolles, lactaires et grisets et autres Lepista nuda –espèces casserolables- sera finalement une journée pénible pour tout le monde.
Le lieu de cueillette est au-dessus de Meyrueis, au point de départ de la route de Lanejuols.
Hélas, au moment de la détermination des cueillettes, l’un d’entre nous fait défaut. Il s’est égaré et se retrouve à quelques km du lieu de cueillette. Or les portables ne passent pas. Pique-nique tardif, le temps des retrouvailles.
L’après-midi, un autre cueilleur s’égare et se retrouve sur les hauteurs de Bramabiau, à plus de 10 km. Or les portables passent très mal. Il est alors 18 h. Où pouvoir le récupérer avant la nuit ?